Togo 2012

Après toutes les émotions des derniers jours, il nous faut un peu changer d’air. Pour cette raison nous décidons de passer une journée en « touriste ». A 7h30 tapante Joseph notre ange gardien la bas, est venu nous chercher avec sa maman pour une journée de découverte du pays. Direction Kpalimé un peu plus au nord ou nous faisons des petits achats de touristes. C’est l’occasion pour moi de prendre un Djembé pour Kelyan. Je sens que ça va être ma fête au retour quand il va le recevoir lol. Je craque également pour 3 batiks et 3 colliers.

Nous nous sommes arrêtés au marché de Gazepé. C’est un vrai marché africain, ou tu as du mal à te frayer un chemin entre les stands, et ou les poissons séchés côtoient les tissus ou fruits. Tiens il y à même des plaquettes de médicaments en vente ! Nous vérifions quand même de quoi il s’agit, puisque la pauvreté est telle là-bas que parfois les patients préfèrent revendre ce qui leur serait utile que de l’avaler. Rien à voir avec ce que nous distribuons à nos patients heureusement.

J’ai trouvé des tissus magnifiques qui vont venir rejoindre ceux que j’ai déjà pris à Lomé.

A midi nous sommes invités chez les parents de Joseph à Kevo-Dalave, un petit village qui se situe sur la route qui mène au Mont Agou. Nous aurons de la pâte et un Yebesisi. Le yebesisi est une sauce faite de tomates, piments, ails et poissons. Mathilde est vraiment la spécialiste de ce plat traditionnel et nous nous régalons tous de ces victuailles. En bon fils de famille Joseph nous à préparer le dessert : des mangues arrosé d’un jus de citron vert. Ce plat aussi à été vidé en 2 temps 3 mouvements. Il faut dire que les fruits là-bas sont beaucoup plus gouteux et juteux que les même par ici.

 Joseph et Mathilde 

Nous en profitons pour visiter la maison de la présidente d’EVTF. Petite merveille de la technologie avec le peu de moyen disponible sur place. Luxe suprême il y a même une cave !

Quand nous repartons vers la voiture, nous croisons une ribambelle d’enfant portant chacun un ustensile plein de sable sur la tête. Devant notre étonnement, Joseph nous explique qu’une maison va se construire dans le village, et que ce sont les enfants qui montent le sable vers le terrain de construction. Cela peu paraitre choquant pour nous, mais est tout à fait naturel là-bas. J’ai donné un paquet de bonbons à Joseph pour qu’il les leur distribue. J’avais vraiment peur d’être débordée, et j’ai eut raison. Dès qu’ils ont réalisés, c’est une nué qui c’est formée autour de ce pauvre Joseph, le tout accompagné de cris de joies.

Malheureusement une journée, même en Afrique, ça passe trop vite, et déjà est venu le temps pour nous de reprendre la route vers Lomé. Sur ce voyage de retour nous essuierons un véritable orage de brousse. Je comprends maintenant pourquoi la végétation est aussi verte malgré le temps chaud.

Nous invitons le chauffeur, Joseph et sa maman Mathilde à partager notre repas du soir, que nous prendrons au Sao Polo Bar, situé au coin de la rue principale pas trop loin de notre hôtel.

Merci pour votre passage et a demain pour la première partie du WE avec nos filleuls

Aujourd’hui nous avons a nouveau 3 visites à domicile de prévues. Celles-ci se font en principe a partir de midi, car les enfants sont à l’école le matin. Mais comme nous sommes mercredi, ce sont les enfants qui viendront ä nous et non le contraire. Cela nous arrange un peu, car la chaleur est étouffante et rouler en « taxi » togolais n’est pas de tout repos pour nous. C’est donc une partie de rigolade et de joie qui nous attends en ce début d’après midi. De joie surtout pour les enfants qui reçoivent pour la plupart un paquet cadeau que nous avons ramener de la part de leur parrain ou marraine.

Christiane et Sylvie avaient emmener des ballons en plus des habituelles sucreries, et cela les as ravis. C’est une chose qu’ils ne connaissent pas non plus là-bas

Après 16 h, nous sommes allés sous la houlette bienveillante de Joseph, visiter l’orphelinat à la sortie de la ville. C’est une visite « privée » qui n’as rien a voir avec l’association cette fois. Joseph en avait parlé dans un de nos échanges mail, et nous avons décider de les gâter un peu aussi. Je vais quand même vous raconter un peu l’histoire de cet orphelinat. Tout d’abord ce n’est pas un orphelinat comme nous les connaissons chez nous. C’est un couple de togolais qui se sont lancé là dedans un peu au hasard. Ils ont reçu en permission d’utiliser, une vieille bâtisse, pour loger les enfants recueillis. Depuis 2009, la crise étant passé par là, les commerçants qui leur octroyait gratuitement la nourriture, ont cesser tout don. Depuis cette date, tous les matins, le mari monte sur sa moto et va quémander de la nourriture auprès des boutiques de Lomé à manger pour ses ouailles. Point de subvention de l’état pour une raison que je qualifierais de ridicule. Pour toucher des subventions, donc de quoi habiller et nourrir les enfants, il faut 2 bâtiments bien distincts pour les filles et les garçons. Bien entendu cella il ne l’as pas pour l’instant ! Donc il faut qu’il se débrouille par ses propres moyens !  Il nous explique que souvent il n’a de quoi faire qu’un seul repas journalier pour les enfants. Les moyens et les grands mangent le soir, les petits quand à eux reçoivent les restes le lendemain matin. Enfin je pense que quand il dit « reste », je suppose que c’est des parts qu’il mets de coté pour eux. Les habits sont des récupérations des villages environnants. Quand les membres de notre équipe m’ont expliqués le vécu de ses enfants mes larmes ont coulées toutes seules. La plupart des enfants récupérés ont été violés par des conducteurs de camion pour quelques francs ! L’un d’eux à échappé a une mort certaine, puisque la seconde femme de son père à voulut l’empoissonner. Quand on voit ce petit bout de 4 ans, il nous vient des envies de meurtre à l’encontre de celle-ci ! Comment peut-on en vouloir à un enfant d’être né d’une partenaire précédente ! Nous avions à notre disposition de dons divers, environ 105000 CFA. Avec l’aide précieuse de Joseph, nous avons acheté le matin même 100 kg de riz, 20 kg de riz parfumé, 1 bidon d’huile, 1 carton de sauce tomate, 1 carton de savon, 100 berlingots d’eau potable, 4 paquets de pain. Il nous restait 2000 CFA que nous avons investi dans 2 bouteilles de cacahuètes. Nous avions 2 taxis remplis pour transporter tous ces trésors pour eux. Quand nous sommes arrivés, c’est le calme et le silence qui nous a frappé de prime abord. Puis comme par magie, 57 enfants sortirent de nul part et venaient s’assoir en silence sur des bancs bien alignés sous la grange. Le directeur nous a accueilli avec quelques mots gentils et les enfants nous ont offerts une sérénade rien que pour nous. Joseph c’est mis au Djambé avec eux.

Ils ont ensuite étalés 2 nattes a terre, nous ont amené une table. Nous avons mis tous nos dons sur cette table et ces nattes. Nous avions collecté des vêtements enfants d’été chez nous, j’ai joins les t-shirt du club de natation qui à fermé ses portes il y a plus de 10 ans, des stylos, du savon, des mouchoirs en papier, du chocolat ainsi que des bonbons ont rejoint les nattes.

Une volontaire allemande Lena, aide en ce moment  le directeur dans sa lourde tache. C’est dans la langue de Goethe qu’elle nous souhaita la bienvenue. Pour une fois c’était au tour des autres de ne pas comprendre un mot lollllllllllllll Il faut dire que les togolais parlent tous Mina entre eux, un patois incompréhensible pour nous. Pour une fois nous étions vengés NA !

Après moult remerciements pour ces cadeaux tant attendus et nécessaire, le directeur nous a appris une excellente nouvelle. Les femmes d’un village voisin, ont financées sur leur maigre denier, la construction d’un bâtiment pour filles.  Les hommes du même village se chargeant de la construction. C’est une très bonne nouvelle en effet, car cela permettra dans un avenir proche l’obtention d’une subvention nationale pour ces enfants. Le directeur n’est pas sans ressources. Il nous a dit, vouloir en plus un second bâtiment pour les garçons, le bâtiment existant lui servirai alors d’école ! Parce que manque de moyen, il arrive souvent que les orphelins soient renvoyés, leur écolage n’étant pas payé en temps et heure. Si cela se concrétise dans un avenir pas trop lointain, je pense que cet institut pourra vivre par ses propres moyens dorénavant.

Nous visitons donc le chantier et apprenons avec joie qu’une pièce est réservée aux visiteurs éventuels. Donc si ce bâtiment était déjà terminé, Lena pourrai y passer la nuit et ne serai pas obligée de se rendre dans l’hôtel voisin.

C’est un peu bouleversé que nous retournons dans notre hôtel, silencieusement, car la misère ne nécessite pas de nombreuses paroles. C’est là que nous mesurons pleinement l’écart de nos deux mondes.

La soirée s’achève plus gaiement, avec la visite de Germaine et de son mari. C’est la belle-maman de Prisco , médecin togolais ayant bénéficié du programme d’aide d’EVT, exerçant maintenant au sein du SSR de Bourges ! Rdv est pris pour jeudi de la semaine suivante, Germaine tenant absolument à nous inviter à manger avant notre départ pour la France. Il faut dire que Germaine viens régulièrement en dans notre pays depuis que sa fille y est installée, et qu’elle voulait nous rendre les invitations passées.

C’est malgré tout le cœur gros que je m’endors, me repassant en boucle la journée qui vient de se passer.

A demain pour la journée de la femme au Togo et merci de votre visite.

Ce matin nous entrons dans le grand bain … enfin moi. Les autres membres du groupe connaissant déjà pour la plupart. Nous nous sommes tous retrouvés dans les locaux d’EVT. Accueillis par la Directrice Celestine, nous mettons en place le calendrier des visites à domicile, ainsi que celui des contrôles des carnets Fusec. Je suis trop contente, plus qu’un jour à attendre et je verrai enfin Elom mon filleul. Yes !

 Les locaux d'EVT à Lomé

Les consultations d’EVT pour les malades ou atteint du SIDA est assez impressionnante. C’est fou de voir tous ces gens attendre patiemment sur des chaises en plastiques, parfois plusieurs heures, que le médecin, le psychologue ou les infirmières peuvent les recevoir. Malheureusement EVT est victime de son succès dans l’état actuel des choses. La salle d’attente ne peux contenir toutes les personnes qui se présentent, et il n’est pas rare de voir des gens dormir à terre en attendant d’avoir une chaise pour se mettre sur les listes d’attentes. A midi toutes les chaises sont encore occupées alors que les portes sont ouvertes depuis 8 h du matin.

Ce jour-là j’ai fait la connaissance de Majoie.

Majoie est une petite fille de 6 ans maintenant. Ces débuts dans la vie sont plutôt tragiques, puisqu’elle à été déposée dans un carton devant l’association. Une femme d’EVT à accepter de la prendre en charge et depuis c’est un peu notre mascotte à tous. Il n’est pas rare de voir ainsi des enfants abandonnés dans les rues. Peu sont ceux qui survivent. Depuis sa naissance Majoie est donc prise en charge financièrement par EVT dans le programme de parrainage. Au moins elle pourra faire des études, et nous espérons tous pour elle un plus belle fin de vie que ce qu’elle a connue au début.

Par le plus grand des hasard, ce jour-là, la maman de Elom était dans la salle d’attente pour sa consultation. Comme elle ne me connaissait pas, une dame de l’association lui a dit que j’était là. Elle a aussitôt laissé passer son tour dans la longue file d’attente pour venir me saluer. Voir ce petit bout de femme toute frêle m’as bouleversé plus que je ne l’aurai souhaité. J’en ai profité pour lui remettre un petit livret sur l’Alsace qu’elle remettra à Elom le soir même. J’ai trouver par hasard 2 jours avant de partir ce petit recueil qui explique les us et coutumes de ma région. C 'est un moyen comme un autre de lui faire connaitre le monde à ce petit bout d’homme.

Nous avons profité de l’occasion également pour leur faire le traditionnel repas « yovo ». Depuis quelques années en effet, a chaque arrivée d’un groupe de membres d’EVTF, nous nous arrangeons pour emporter dans nos valises de quoi faire un repas typique d’une région française. Cette année c’est l’Alsace qui était à l’honneur. Chacun de nous avait son paquet de Spaetzle et son morceau de Kassler dans les valises. Nous avons donc emporté toutes ces victuailles à EVT et avons essayé de les faire cuire. J’ai bien dit essayé. En effet tous les membres d’EVT sont d’incorrigibles curieux et bientôt il y avait tellement de monde autour des casseroles que la cour était vide de monde. Chacun voulait touiller « pour apprendre ». Nous avions plus de 5 kg de viande a faire cuire, et avec le couvercle qui était soulever sans arrêt par quelqu’un la cuisson à durée plus que prévue. Faly la gourmande – je l’appellerai ainsi  suite à ce repas – tournait sans arrêt d’un plat à l’autre. Quand enfin nous estimions la cuisson a point, Jocelyn à sorti un morceau de viande couper en 2. Bon il devait quand même faire un bon 500 gr. Il a coupé un morceau pour en vérifier la cuisson, et avant que nous ayons le temps de faire quoi que ce soit, le morceau avait disparut dans les bouches gourmandes qui se trouvaient à proximité. Heureusement pour nous, la viande était cuite. Donc nous avons défendu a tous de la toucher le temps que nous la préparions. Peine perdu … c’est eux qui voulaient la couper. Heureusement que nous étions là pour veiller au grain. Les 5kg ainsi découpé ont atterri dans une marmitte, et les spaetzle sur un plat. Comme par magie tous les membres d’EVT ont désertés les bureaux ou laboratoire, et chacun avait a sa main une assiette pour gouter la cuisine yovo. La directrice en tête nous n’avons eut que des compliments. En 2 temps 3 mouvements il n’y avait plus rien. Faly la gourmande se battait presque pour avoir les derniers morceaux a se mettre sous la dent. Pour nous c’était un plaisir de les voir ainsi dévorer ce repas que nous leur avions fait.

 Même le Dr. Mensah a voulut faire sa part de travail

  Ruée sur le repas  Faly sert les autres et gardera le reste pour elle :o)

Une chose m’a frappée depuis 2 jours que je suis sur place. Les gens mangent à n’importe quelle heure de la journée, on dirai qu’ils n’ont pas d’heure fixe pour les repas. Vous pouvez les voir aussi bien à 10 h du matin qu’à 4 h de l’après midi avaler une assiette de riz, sauce légumes – qui est leur repas principal avec la pâte. Nous les imitons le soir et allons à Djidjélé nous installer à un maquis – bar pour nous – et passons commande auprès de la mama qui nous a proposé des brochettes, du riz, de la pate, des bananes plantain, des ignames frites, de la sauce le tout pour 800 CFA à 5 !(soit 1,22 €). Le taxi qui nous a ramener à crever en court de route et quand nous avons demander au chauffeur s’il avait une roue de secours, il nous répondit que oui « mais elle n’est pas bien gonflée ». Tu parles, elle était encore a plat du dernier incident. Nous avons donc dut changer de taxi dans une rue inconnue, heureusement qu’il y en as partout la bas. Nous sommes tout de même arriver à bon port à l’hôtel pour une nouvelle nuit sous la moiteur.

A demain pour les 3 visites à domiciles prévues et merci de votre passage.

Ca y est, c'est le grand jour. Mozart m'a reveillée a 4 h du matin .... bon dieu elle ne dors donc jamais cette chipie ?

Ca va je pense avoir fait tout ce que je devais avant de partir. Béré aussi est a l'heure donc pas de soucis pour prendre l'avion.

Quel cirque pour passer les portiques. Un peu plus je me retrouvais en sous-vetements dans le hall de l'aéroport. Bâle-Paris RAS. Tout va bien. Arrivé a Paris c'est une autre paire de manches ! Déjà que CDG est presque une ville, pas moyen de se déplacer a pied et avec des mouvements d'humeurs au sol c'est encore pire. Normalement fin de l'embarquement 13h05. J'arrive toute essouflée à 13h10 mais on me laisser passer quand meme. J'en ai profiter pour passer un coup de fil a Chantal au Togo qui m'annonce que j'aurai une heure de retard ..... ! Bravo, moi je ne le savais pas encore . Je suis restée plus de 2 heures dans l'avion a attendre qu'il veuille bien décoller. Entre les bagages qui avaient du retard, et le plein de carburant à faire, nous avons décollé avec 40 mn de retard !

Voyage sans encombres et paysages magnifiques depuis le hublot à coté de mon siège. Je vous laisser juger vous meme;

Notre vitesse de croisière est de 900KM/h le tout à 37000 pieds d'altitude. Dehors la température est de -60° brrrrrrr je suis contente d'avoir l'avion autour de moi, ce froid ne me tente pas du tout.

Le repas de midi nous est servi vers 16h. J'avais tellement faim que j'ai tout manger ou presque. Bien entendu c'est mon premier repas de la journée, j'avais comme une boule a l'estomac ce matin et impossible d'avaler quoi que ce soit.

Dès que nous avons approché Niamey on ne voyais plus rien au sol. J'avais comme l'impression qu'il y avais de la brume, mais après reflexion .... il faisait déjà nuit au sol ! J'en ai profiter pour reculer ma montre d'une heure, histoire de me mettre tout de suite à l'heure locale.

Nous avons atterri à 19h39 à l'aéroport de Lomé. En sortant de l'avion j'ai eut le souffle couper ! La chaleur est arrivée trop vite, et avec l'humidité ambiante j'ai eut l'impression que mes habits collaient à ma peau ! J'ai dut attendre plus d'une heure pour pouvoir passer la douane. Les formalités sont simples, mais lentes ..... et les africains aussi sont lents. La facon qu'avais le douanier de tourner les pages de mon passeport m'as fait sourire. J'ai aussi entendue leur bonjour pour la première fois: bonne arrivée ! Ces deux mots je les entendrai souvent pendant mon séjour, mais je ne le savais pas encore. Quand enfin je me suis retrouvée dans le hall d'arrivée des bagages, j'ai aussitôt fait appel à un porteur. Bien m'en as pris, car les douaniers n'avaient meme pas le temps de faire quoi que ce soit que dejà il les avait remis sur le chariot. La douanière a juste eut le temps de me demander ce qu'elles contiennent. J'ai répondu sincèrement, en lui disant qu'il y avait des affaires pour Espoir Vie Togo et mes effets personnels. Quand elle a entendue EVT, elle m'as fait signe de passer et je me suis enfin retrouvée dans le hall, ou j'ai immédiatement vue Sylvie dans la foule.

30 minutes plus tard je me suis retrouvée dans le hall de notre hôtel et oh miracle une bonne bière fraiche m'attendais à mon arrivée ! Je l'ai bus avec un plaisir immense. Pendant ce temps, celui que j'apellerai Caoutchouc pendant les premiers jours, à monter mes valises dans ma chambre, pendant que Christine la cuisinière et Noel le gérant m'acceuillait avec moultes questions.

Je m'endors facilement malgré la chaleur, et la tête pleine de rèves, je suis partie pour une première nuit sur place.

A demain pour la suite de mes aventures, et merci pour votre passage

Un gros gros gros gros gros bisou à mon Kelyan qui fête ses 1 an aujourd'hui. Mamy n'est pas prêt de toi mais tu es dans mes pensées aujourd'hui